Pompe à merde

Am 3. Mai 1936 schreibt René Magritte einen Brief an Richard Dupierreux, den Kunstkritiker des Brusseler „Le Soir“:

La bêtise est un spectacle fort affligeant mais la colère d’un imbécile a quelque chose de réconfortant. Aussi je tiens à vous remercier pour les quelques lignes que vous avez consacrées à mon exposition.
Tout le monde m’assure que vous n’êtes qu’une vieille pompe à merde et que vous ne méritez pas la moindre attention. Il va sans dire que je n’en crois rien et vous prie de croire cher monsieur Dupierreux en mes sentiments les meilleurs.

Deep-L übersetzt das so:

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